Tant de choses...
Bon, oui, pas d'excuse toute pourrie, je vous ai encore laissé une semaine sans nouvelles. Espérons que le rythme reprenne en Février. Je l'espère en tout cas.
En attendant, cette semaine, il s'en est passé, des choses. Alors voilà un petit résumé pour vous tenir à jour en attendant que ce blog reprenne un rythme de parution plus normalisé.
Le week-end dernier, comme vous l'avez sans doute deviné à la lecture de mon dernier article en date, j'ai travaillé. J'ai révisé. Pas quinze heures par jour non plus, je vous rassure, mais assez pour bien me prendre la tête et pour épuiser mes pauvres petits neurones. Dimanche soir, c'était assez épique. Mes révisions étaient en principe terminées, du coup j'ai relu en vitesse tous les plus gros cours pour me rafraîchir un peu les idées. Palpitant.
Lundi, quand on s'est pointés sur place pour passer les examens, on a commencé à papoter un peu, avec les filles, surtout que ça faisait un moment qu'on s'était pas vus. Et une chose en entraînant une autre, on commence à parler des examens (étrange), des révisions, des trucs sur lesquels on espérait pas tomber. Et c'est là qu'une de mes chères collègues et moi-même sommes tombés d'accord pour dire que si ça tombait sur la psychoacoustique, c'était très très mal.
La prof arrive, on s'installe pour la première épreuve de deux heures (UE de Psychophysiologie), et la prof nous fait passer le sujet en nous disant : "Il y a deux questions, une d'une heure et demie et une d'une demi-heure. Vous les faites dans l'ordre que vous voulez". Je prends le sujet, je regarde la feuille et je prends comme un coup de masse derrière la tête. Deux questions de psychoacoustique. Bien bien bien... ça commence mal... Et puis là, la prof nous distribue à chacun un dossier de 16 pages. C'était en fait un autre sujet, sur un cours qu'on pensait tous être dans une autre UE, Application en entreprise. Et là, à moitié dans la brume, je me demande pourquoi elle nous distribue déjà le sujet de l'épreuve suivante. Pour gagner du temps peut-être ? Et puis je commence petit à petit à sortir de la brume et à réaliser qu'il y a deux sujets en vrai, pour l'UE de Psychophysio, celui de 16 pages (en fait un rapport à trous à compléter), à faire en une heure et demie, et celui avec les deux questions de psychoacoustique, à faire en 30 minutes. Ce qui a tout de suite relativisé l'importance des questions de psychoacoustique. Et m'a permis d'aborder la journée d'exams un peu plus sereinement.
Et puis les heures ont passé. Les sujets se sont enchaînés, les uns après les autres, certains faciles, d'autres plus durs, certains que je maîtrisais bien, d'autres moins. Et globalement, même si ça aurait pu mieux se passer, ça aurait pu être pire. Et puisque tout se compense, ça devrait aller au final.
Mais surtout, surtout, ce que je peux dire de ces partiels, c'est qu'ils sont finis. Et ça c'est plutôt bien.
Bon, ce qui est moins bien, forcément, c'est le fait que malgré ça je ne suis pas en vacances, tout simplement parce qu'après la brillante (si si) présentation faite hier devant les élèves de l'Institut Paul Bocuse suite aux tests gustatifs qu'on leur avait fait faire il y a quelque temps, j'ai encore un rapport de gestion de projet à rédiger pour mercredi et à présenter à l'oral la semaine suivante. La veille de mon départ, d'ailleurs.
Parce que oui, les choses se précisent aussi de ce côté-là. J'ai reçu ma demande de convention de stage signée par mon futur maître de stage en entreprise, ma responsable de formation l'a signée, et le reste n'est que formalité. De la même façon, la paperasse pour le studio trouvé dans la résidence étudiante sur Paris est en bonne voie, et à moins d'une catastrophe de dernière minute (touchons du bois), le ballon, au final, devrait bien rentrer dans le panier. :)
Tout ça pour dire que dans deux semaines, je finis mes exams, et que le lendemain je pars pour 6 mois d'une nouvelle vie, dans un cadre différent, avec des gens différents, un boulot différent, un rythme différent,... Une nouvelle aventure, quoi. De quoi alimenter ces pages pendant un moment, encore, je pense... :)